L’incident d’un berger dans le village de Tegh, causé par les actions des Azerbaïdjanais puis renvoyé dans la patrie par les efforts des militaires russes, montre clairement le niveau de protection des colonies frontalières, ou plus précisément, leur vulnérabilité. Tigran Abrahamyan, membre de la faction “J’ai l’honneur” de l’Assemblée nationale, a écrit à ce sujet sur sa page Facebook.
Il a notamment noté. “Si notre berger se trouvait à proximité des positions azerbaïdjanaises, les forces servant dans cette partie de la frontière auraient dû l’empêcher d’entrer dans la zone dangereuse.
Même si l’entrée de notre compatriote dans la zone de danger n’a pas été empêchée, le mouvement de 4 militaires azerbaïdjanais vers la partie arménienne de la frontière, la querelle avec notre pasteur aurait dû être enregistrée.
Dans la même logique, les Azéris auraient pu descendre sur l’autoroute Goris-Tegh-Stepanakert, recourir à une provocation et cela n’aurait pas été réparé ni, qui plus est, empêché.
Je ne sais pas combien de fois nous devrions parler des problèmes et de leurs solutions, alors que “les solutions pour ce gouvernement se situent dans le cadre du flirt arméno-turc et de l’amour non partagé avec l’Azerbaïdjan”.